Le jeudi 23 juin au soir, des individus non identifiés ont dégradé la façade du siège de la CFDT, à Paris.
La LDH condamne catégoriquement de tels actes de violence. Dans un contexte marqué par une importante difficulté à instaurer un dialogue social garantissant l'expression démocratique et le respect des droits, toute atteinte violente à la liberté d'expression constitue une faute.
Elle souhaite que les auteurs de ces dégradations soient identifiés et répondent de leurs actes.
Communiqué LDH
Paris, le 24 juin 2016